Avant de visionner cette
vidéo, je souhaite simplement préciser une petite chose :
Ce blogue n’a pas pour
vocation de choquer, de provoquer. Je n’appartiens à aucun mouvement, à aucune
religion. Ma seule croyance est celle du cœur.
Cela ne veut pas dire pour autant que je ne me sens pas révoltée sur la façon dont notre monde fonctionne. Comme vous, je suis très souvent en colère devant certaines injustices mais je n’ai pas
l’âme d’une militante, voilà tout.
Mon truc à moi est
plutôt de partager avec vous la vision d’hommes et de femmes - et ici d'enfants - profondément
connectés à leur cœur qui font face aux problèmes de notre société et qui apporte
une nouvelle vision.
Je n’ai pas la
prétention de changer les consciences, j’espère simplement qu'à un moment donné de votre chemin, mes
articles vous interpelleront et vous donneront envie d'aller plus loin.
Il n’y a pas une vérité,
il y a votre vérité. Et celle-ci ne provient ni de vos croyances, ni de la société, ni de votre
éducation, ni d’une quelconque religion. Celle-ci provient directement de votre cœur.
Je vous propose
aujourd’hui le témoignage d’une enfant de 12 ans, Victoria Grant, qui explique comment le fonctionnement
du système bancaire mondial actuel cause la pauvreté.
Cliquez ici pour visionner la vidéo.
Je salue le courage de Victoria qui, en révélant ces vérités, œuvre pour un monde meilleur.
Elle fait partie de cette nouvelle génération parfaitement consciente de ce qui se passe qui n'a pas peur de dire les choses.
Elle s'exprime sur le système bancaire mondial, d'autres s'expriment sur la maltraitance animale ou sur la toxicité de notre alimentation.
C'est en en tout cas une magnifique leçon ! Merci Victoria !
Elle s'exprime sur le système bancaire mondial, d'autres s'expriment sur la maltraitance animale ou sur la toxicité de notre alimentation.
C'est en en tout cas une magnifique leçon ! Merci Victoria !
"La pauvreté n'est
pas un accident. Tout comme l'esclavage et l'apartheid, elle est programmée par
l'homme et elle peut être enrayée par les actions des êtres humains".
Nelson Mandela
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